L'"islamophobie" tue la critique, puis les gens

L'"islamophobie" tue la critique, puis les gens.

Ce mot a servi à isoler des victimes, justifier des menaces, diaboliser des profs, des journalistes, des artistes, des citoyens.


Ce mot est un outil de terreur sémantique, qui ouvre la voie à la violence réelle. Notamment la tuerie de Charlie Hebdo (7 janvier 2015)


Les terroristes crient : "On a vengé le prophète, on a tué Charlie Hebdo."
➡️ Accusé d’“islamophobie” avant l’attentat par certains intellectuels et politiques.
➡️ L’attaque a été justifiée moralement par des groupes islamistes au nom de la protection de l’honneur du prophète.


🎓 Samuel Paty (16 octobre 2020)

Samuel Paty, professeur d'Histoire-Géographie-EMC a montré une caricature dans un cours de liberté d’expression. Cours qu'il a trouvé sur la plateforme de l'Éducation Nationale, parfaitement conforme au programme.
➡️ Accusé d’islamophobie par des parents et des islamistes locaux, une campagne médiatique s’est ensuite lancée par des islamistes et influenceurs radicaux pour le discréditer.
➡️ Cela a conduit à son assassinat et à sa décapitation par un islamiste radical, sous l’influence de l’accusation d’islamophobie.


📰 Les persécutions d’écrivains et intellectuels

Tariq Ramadan : le petit-fils du fondateur de la confrérie des Frères Musulmans (Hassan Al-Banna), accusé de viols et d’agressions sexuelles, utilise le terme islamophobie pour discréditer ses accusateurs et les attaquer en justice. 

Michel Houellebecq : L’auteur de Soumission est souvent accusé d’islamophobie pour ses critiques de l’islam. Bien que ses critiques soient sur l’islam politique et non sur les musulmans en tant que peuple, cette accusation a alimenté des menaces de mort contre lui et des appels à le censurer.

 

📚 Boualem Sansal (2023)

L’écrivain algérien dissident est emprisonné sous des accusations d’islamophobie pour avoir critiqué le régime algérien et l’influence de l’islam politique.
➡️ Il a dénoncé l'usage de la religion pour étouffer les voix dissidentes, ce qui a valu sa répression par les autorités algériennes.


🎭 Salman Rushdie (1989 – 2022)

L’écrivain Salman Rushdie est victime d’une fatwa lancée par l'Iran en 1989 pour avoir écrit Les Versets Sataniques, un roman jugé blasphématoire par certains.
➡️ En 2022, il est attaqué au couteau lors d’une conférence par un extrémiste musulman.
➡️ Ses détracteurs justifient l'attaque en le qualifiant d'"islamophobe".

 

🇹🇷 En Turquie : le cas de l’artiste Serkan Koc

Serkan Koc, un artiste et auteur turc, a été incarcéré pour avoir critiqué l’islam politique d’Erdogan.
➡️ L’accusation principale : l'"islamophobie" à travers ses œuvres dénonçant l’intolérance religieuse et les dérives politiques sous la présidence d’Erdogan.
➡️ Cela a entraîné une campagne de dénigrement et des actions judiciaires à son encontre.


🇪🇬 En Égypte : l’emprisonnement de l’humoriste Shadi Abu Zeid (2019)

Shadi Abu Zeid, un humoriste égyptien, a été arrêté pour avoir diffusé une vidéo satirique critiquant l’islam et les autorités égyptiennes.➡️ Accusé de "blasphème" et "d’islamophobie", il a été incarcéré et condamné à plusieurs années de prison.
➡️ Cet exemple montre comment le mot islamophobie est utilisé pour réprimer la satire et l’humour critique à l’égard de l’islam politique.


🇮🇶 Les exécutions d’apostats en Irak

Les apostats (anciens musulmans) sont accusés d’islamophobie dans les pays où l’islam est une religion d’État.
➡️ En Irak, certains ex-musulmans ont été exécutés ou condamnés à la mort après avoir renoncé à leur foi.
➡️ Ces condamnations sont souvent justifiées par des charges d’islamophobie, et ont lieu dans un contexte de renforcement de la charia.


🇮🇷 La persécution des journalistes en Iran

Des journalistes et activistes qui dénoncent l’islamisme et la répression en Iran sont régulièrement accusés d’islamophobie.
➡️ IranWire, un média en ligne indépendant, a vu plusieurs de ses collaborateurs emprisonnés pour avoir dénoncé la répression religieuse et l'intolérance.
➡️ L’accusation d’islamophobie est utilisée pour faire taire les critiques du gouvernement iranien et de ses dérives religieuses.


🧕🏽 Les menaces contre les ex-musulmans dans le monde

Les ex-musulmans qui critiquent l’islam (surtout les femmes et les minorités) sont régulièrement accusés d’islamophobie.
➡️ Ces personnes sont souvent menacées de mort ou contraintes à l'exil dans des pays où la liberté d'expression est réduite sous la pression de la majorité islamique.
➡️ Ce phénomène touche des pays comme le Pakistan, l'Arabie Saoudite, et le Bangladesh.

Même en France, le phénomène des apostats prend de l'ampleur


"Islamophobie" comme outil de contrôle social

L’utilisation du mot islamophobie ne sert pas uniquement à défendre une religion ou une communauté.

Elle devient un outil de contrôle de la pensée et une arme de dissuasion contre ceux qui osent critiquer les dérives de l’islamisme ou qui appellent à une séparation entre religion et politique.

L'accusation d'islamophobie semble aussi vouloir faire l'amalgame entre musulmans, islam et islam politique. Or, ce piège tendu par les islamistes est dangereux, et chacun doit conserver son discernement et ne pas tomber dedans. Il en va de l'esprit critique de tous les individus.

Cette arme sémantique qu'est "l'islamophobie" permet de museler la liberté d’expression et d’introduire progressivement des lois contraires aux principes de la République.

Chez SurMaVie, nous nous battons contre cela, car il en va de notre sur(ma)vie.

Voir la page sur les pièges que constitue l'accusation d'islamophobie.

 

Découvrez nos stickers qui luttent contre l'islamisme 

Sticker blanc sur fond noir "Voilée ou violée - l'islamisme vous laisse le choix" « L'apostasie n'est pas un crime, c'est un droit » - Lot de stickers sur fond vert - apostat kouffar kufr Sticker autocollant "Nous avons le droit d'emmerder dieu et c'est bien ainsi" en noir sur fond jaune - Hommage à Richard Malka, grand défenseur de la France et des causes laïques

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