Le piège de l'"islamophobie" pour museler notre liberté

"Islamophobie" : un mot piégé pour museler la liberté

Un mot inventé pour interdire la critique

Le mot islamophobie semble, à première vue, désigner une forme de haine envers les musulmans.

Mais dans les faits, ce mot flou est un piège sémantique, une arme idéologique forgée pour empêcher toute critique de l'islam comme religion, idéologie ou système politique.

Historiquement, ce terme a été promu dès les années 1980 par les Frères Musulmans et d'autres mouvements islamistes, dans un objectif stratégique : assimiler toute critique de l’islam à du racisme, et ainsi faire taire les voix laïques, féministes, universalistes, ou simplement républicaines.

Derrière le mot, la menace du retour du blasphème

En France, le délit de blasphème a été aboli en 1791. La République a mis fin à ce crime religieux pour garantir la liberté d'expression et la critique des dogmes. Mais aujourd’hui, sous couvert de "lutte contre l’islamophobie", on tente de le réintroduire par la petite porte.

Dire qu’un dessin, une caricature, un propos critique sur l’islam est “islamophobe”, c’est demander sa censure.

C’est criminaliser le débat, l’humour, la libre pensée.

C’est imposer une forme de sacré religieux dans l’espace public, incompatible avec la laïcité.

Ce que ce mot empêche de dire

  • Qu’on peut critiquer une religion sans haïr ses fidèles.

  • Que l’islamisme est un projet politique autoritaire et liberticide, 

  • Que les femmes, les apostats, les minorités sexuelles ou religieuses souffrent de l’application de la charia dans de nombreux pays. Même en France à cause du voile imposé à 50% de la population, les femmes.

  • Que la République n’a pas à se soumettre à des injonctions religieuses.

 

Une arme des islamistes, reprise par les idiots utiles

L’utilisation du mot islamophobie n’est pas anodine : elle a été pensée pour délégitimer la critique, inverser les rôles, et faire passer les islamistes pour des victimes. Beaucoup, par naïveté ou par lâcheté, reprennent ce mot sans en mesurer les conséquences.
Pendant ce temps, la peur s’installe, des enseignants se censurent, des journalistes se taisent, des artistes renoncent.


Résister, c’est refuser les mots piégés

Chez SurMavie, nous refusons d’abandonner nos libertés pour ne pas “offenser”.


Nous refusons d’être complices d’une idéologie qui, sous prétexte de lutte contre le racisme, cherche à imposer sa loi religieuse.


Nous affirmons : critiquer une religion, ce n’est pas haïr. C’est penser librement.  C’est un droit fondamental. C’est un pilier de la République.

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